- 8 / PARIS - DIEPPE ET RETOUR

Chant VIII

Inlassablement les embarcations jaunes s'en vont et
viennent océan vert laiteux. Céladon infini et larges
bandes brunes au passage soudain des nuages rapides.
trouées violentes et soleil cru. Le vert plus vif encore. le
vent.

Falaises crayeuses meringues effritées mâchoires de
Scylla poussières de vent je suis là, tête posée sur tes
cuisses et maintenant.
 

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Maisons de bois

Volets roulants baissés paupières closes derrière la porte
un grognement de jeu ne chien et puis surgit ses douze
pattes et sa tête effraya nte trois rangs de dents dévore
tout, noir crista l, ultime audace: dévore le jour la nuit et
mes draps qui pal pitent

Grognements des molosses à ma porte - comme si cette
invisible histoire vous unissait souterrainement à lui

Avancer dans la passe

Nuit